Contre les projets MACRON, le Président des Riches !

Grève et mobilisation Mardi 12 Septembre 2017

« Macron Attacks ! »

Le budget de la nation, de la sécurité sociale et des collectivités territoriales :

  • Hausse du CICE de 6 Milliards et sa transformation en baisse de cotisations patronales
  • Exonérations des cotisations sociales réduisant les recettes issues du salaire socialisé
  • Baisse du 13 Milliards des dotations pour les collectivités territoriales

 

« Macron Attacks ! »

Les privés d’emploi, invalides, malades et retraités :

  • Plus d’augmentation de la CSG pour les retraités
  • Augmentation des contrôles et baisse des indemnités pour les privés d’emploi

 

« Macron Attacks ! »

La jeunesse :

  • Pas de ministère dédié aux politiques jeunesse
  • Pas d’accès pour tous à l’université
  • Baisse des Aides au logement
  • Suppression annoncée des Emplois d’Avenir pour les jeunes suivis par les missions locales

 

« Macron Attacks ! »

Le Code du travail en remettant en cause 120 ans de protection collective des salariés :

  • L’accord d’entreprise défavorable s’imposera à la Convention Collective
  • Le contrat de travail : le salarié ne pourra plus refuser les modifications
  • Fusion des instances représentatives du personnel : Moins de démocratie dans les entreprises
  • CDD et CDI de projet établis comme la norme : Mort du CDI actuel
  • Plafonnement des indemnités de licenciement en cas de licenciement illicite

 

« Macron Attacks ! »

Notre système de protection sociale en s’en prenant à ses recettes :

  • Suppression des cotisations maladie
  • Suppression des cotisations assurance chômage

 

 

Et les Riches dans tout ça ?

Tout va bien :

  • Pour les entreprises du CAC 40 : La trésorerie c’est 186 Milliards et les bénéfices +32% (en 2016)
  • Pour les riches : Suppression de l’ISF

 

C’est dans la rue qu’il faut riposter

à « Macron Attacks » !

Grève et mobilisation dès

le mardi 12 septembre 2017

 

Pour télécharger le tract, c’est ici

15 septembre 2016: mobilisation nationale contre la Loi Travail. Le retrait c’est possible !

Les organisations (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) donnent rendez-vous à l’ensemble des salarié-es, privé-es d’emploi, étudiant-es, lycéen-es, retraité-es pour une journée d’actions et d’initiatives le 15 septembre partout en France pour obtenir l’abrogation de la loi Travail et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.
Le sondage Odoxa-FTI paru le 18 juillet, relève que 7 français sur 10 sont « mécontents de l’adoption définitive du projet de loi travail » et plus de la moitié d’entre eux « souhaite que les manifestations contre le texte se poursuivent ».
Après un passage éclair devant le Conseil constitutionnel, la Loi Travail est promulguée en pleine période estivale, sans jamais avoir été votée, François Hollande ayant eu recours à trois reprises au 49-3 !
Notre responsabilité est bien de continuer à rassembler, à organiser, à impulser toute la force nécessaire pour en finir avec les régressions sociales et pour gagner de nouveaux droits. La CGT va donc poursuivre les actions, notamment dès le 15 septembre prochain, journée de mobilisation nationale, contre la Loi Travail, pour la réduction du temps de travail, l’aumgmentation des salaires et la lutte contre la précarité.
D’ores et déjà, la CGT appelle donc tous les salariés à se mobiliser, à se rassembler, à s’organiser pour continuer cette mobilisation à la rentrée.

Lien vers le site de la CGT et la vidéo sur la mobilisation sur la Loi Travail: cliquer ici

Cliquer ici pour accéder au tract Pôle-Emploi: imprimez-le, distribuez-le et parlez-en avec vos collègues…

NAO salaires 2016 à Pôle Emploi

Zéro + zéro = …

Il est temps de se mobiliser !

0+0=la tête à toto

La réunion de NAO salaires du 17 février 2016 a confirmé que – tout comme en 2015- la direction générale de Pôle emploi n’a aucune intention d’augmenter les salaires du personnel en 2016.

Le discours de la DG est sans ambiguïté :

« Pôle emploi ne dispose d’aucune marge de manœuvre ! Bercy n’autorise aucune augmentation de la valeur du point-salaire ou de la part fixe ! ».

De la même manière, la direction générale rejette toute hypothèse de rattrapage des pertes subies depuis 2010. De façon tout à fait contestable elle affirme même que les rémunérations auraient augmenté de 8,66% en moyenne depuis 2011, ce qui pose deux problèmes majeurs :

  • La direction se réfère en permanence aux salaires moyens, mais ce n’est pas avec les augmentations moyennes que l’on vit, mais avec celles qu’on obtient – ou pas. Et nous savons tous que nous sommes nombreux à attendre pendant des années la moindre promotion…

En réalité, le salaire de base des agents de droit privé de Pôle emploi est progressivement grignoté par le SMIC et s’éloigne de plus en plus du Plafond Mensuel de la Sécurité Sociale (PMSS) qui détermine notamment le calcul des droits à pension AGIRC.

  • En fait, l’augmentation moyenne que la DG met en avant n’est pas celle des salaires de base, qui reposent sur la valeur du point salaire et sur la part fixe. L’augmentation moyenne à laquelle elle se réfère inclut notamment la prime d’ancienneté et la part des promotions, qui rémunèrent l’amélioration des qualifications : ainsi la DG veut faire de la stagnation des salaires un élément de mise en cause des déroulements des carrières et de la reconnaissance des qualifications des personnels, et d’écrasement de l’éventail des salaires.

La direction générale de Pôle emploi essaye de faire rentrer par la fenêtre de la NAO et de sa politique salariale l’attaque contre les qualifications que nous nous avons rejetée en nous opposant à son projet de Classification.

Par ailleurs, le rappel qu’elle introduit aujourd’hui à un projet d’accord Intéressement avorté en 2011 (signé par une seule organisation syndicale) apparaît purement et simplement comme une piètre tentative de détourner l’attention des agents des revendications salariales fondamentales. Cette tentative est d’autant plus pitoyable que la porte de la salle des coffres reste obstinément fermée :

« il n’y aura pas un sou de plus en 2016. »

La direction refuse aussi la négociation qui devrait avoir lieu sur les mesures à prendre pour 2016 en matière d’Égalité professionnelle pour gommer les écarts injustifiés de salaires entre les femmes et les hommes. Elle se réfugie derrière les dispositions prévues par l’accord en vigueur (que la CGT na pas signé) qui renvoie à la future campagne de promotion de fin 2016 pour d’hypothétiques mesures applicables en 2017. Pour la CGT, ce refus n’est pas acceptable. C’est maintenant que les inégalités doivent être combattues et que les mesures devant être prises doivent être négociées.

Les discours de la DG sont une véritable provocation. Pour la CGT, nous devons obtenir l’augmentation de la valeur du point salaire et de la part fixe, au minimum à hauteur des évolutions obtenues par les personnels de l’UNEDIC, soit une augmentation d’au moins 5,5% pour rattraper les pertes subies.

NB : Seule satisfaction (?) de la journée: la DG annonce qu’elle décidera unilatéralement de porter la valeur des chèques restaurant au butoir fiscal, soit une augmentation de 0,01€.

Paris, le 18 février

Communiqués

Une expérimentation va débuter dans le sud de la Meurthe-et-Moselle (Colombey-les-belles et sud-toulois) concernant le projet « Zéro Chômeurs de Longue Durée« , dont l’accord a été signé par la CGT Chômeurs et la CGT Pole Emploi.

Vous trouverez le communiqué en cliquant ici.

 

De plus, vous trouverez en parallèle, un communiqué dénonçant les pratiques dans les discours accusant Pole Emploi comme étant responsable des chiffres du chômage.

« Ni Privatisation, Ni Régionalisation« , ce communiqué est à lire ici.

Neptune 2 : la noyade

Vous trouverez ci-joint la communication de la CGT Pole Emploi Lorraine concernant la migration de notre système informatique « obsolète » vers Neptune 2 en cliquant ici.

Avec tous les moyens mis en oeuvre, les CLI annulant les 1er rendez-vous EID, les usagers patientant à l’accueil, le temps que les agents fassent leur « migration », nous pouvons dire que, du point de vue de la Direction, ce fut une réussite !

Dégradations des conditions de travail, non respect de l’accord OATT pour certains agents (notamment les agents en CAE qui sont venus en dehors de leur temps de travail), etc., sont les prémisses d’un recul volontaire et programmé de la casse du Service Public de l’Emploi.

Arrêtons le massacre et sortons la tête de l’eau…

Pour votre protection et celle des usagers de Pole Emploi, soutenez la CGT lors des prochaines  élections professionnelles.

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