8 mars Journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Dans un contexte de plus en plus difficile, fait de précarité et de bas salaires, la lutte
pour les droits des femmes n’a jamais aussi légitime.
Les inégalités sont encore trop nombreuses et révoltantes :
temps partiels subis, inégalités salariales, discrimination pour l’accès aux postes,
harcèlement sur les lieux de travail et de vie.

L’injustice de la réforme des retraites pour toutes et tous va malheureusement aggraver la situation de précarité dans laquelle trop de femmes se trouvent placées.

Pour lire le tract, cliquer ici

Conférence de presse: la CGT Pôle emploi Grand Est dénonce les effets de la réforme de l’assurance chômage

Quelques semaines après l’entrée en vigueur des nouvelles règles
d’indemnisation du chômage, la CGT Pôle Emploi Grand Est s’inquiète de
la dégradation de la situation des demandeurs d’emploi. Mais aussi des
conditions de travail des agents.

Pour lire l’article Républicain Lorrain, cliquer ici

Agents de Pôle emploi, toutes et tous concernés par le Retrait du projet de réforme des retraites. Le 7 mars Pôle emploi en arrêt total

Les organisations syndicales de Pôle emploi s’associent totalement à l’appel de
l’intersyndicale interprofessionnelle et des organisations de jeunesse.

Le 7 mars en nous mobilisant massivement, bloquons le pays pour gagner le retrait du projet de réforme des retraites !

Pour accéder à l’appel intersyndical, cliquer ici

Manifestations Mardi 7 mars:

  • Moselle :
    • À Metz, 14h place Mazelle.
  • Meurthe-et-Moselle :
    • À Nancy, 14h place Carnot, précédée d’une AG interpro à 12h à la fac de lettres (salle à préciser).
    • À Toul, 10h rassemblement place Ronde.
    • À Longwy, 14h place Darche.
  • Vosges :
    • À Épinal, 14h devant la préfecture (place Foch).
    • À Saint-Dié-des-Vosges, 9h30 Tour de la Liberté.
  • Meuse :
    • À Bar-le-Duc, 15h parking du Lidl (rue Bradfer).
    • À Verdun, 9h parking du 8-Mai.
    • À Velaines, à partir de 7h devant les portes d’EDF Velaines (ZI de la Praye, plateforme d’envoi des pièces détachées neuves pour les réacteurs nucléaires).
  • Bas-Rhin :
    • À Strasbourg, 14h avenue de la Liberté.
  • Haut-Rhin :
    • À Mulhouse, 13h30 place de la Bourse.
    • À Colmar, 14h devant la Maison des Syndicats, rue Turenne (manifestation précédée par un barbecue revendicatif et buvette des cheminot·es à 12h).
    • À Soultz, 16h place de la République.
  • Haute-Marne :
    • À Chaumont, 14h place de la Mairie.
    • À Saint-Dizier, à partir de 5h du matin, opération ville morte (blocage des ronds-points les plus importants aux entrées de la ville : Marnaval, Valcourt, Nations, etc.), puis manifestation à 17h place de la Mairie.
    • À Langres, à partir de 7h du matin, blocage/filtrage des ronds-points place des États-Unis et la Maladière.
  • Marne :
    • À Châlons-en-Champagne, 10h Maison des Syndicats (1 place de Verdun).
    • À Reims, 10h Maison des Syndicats (15 boulevard de la Paix).
    • À Épernay, 10h30 place Carnot (devant l’ancienne bourse du travail).
    • À Vitry-le-François, 10h30 place de la Marne (rond-point face à l’ancienne piscine).
    • À Sézanne, 14h30 place du Champ Benoist.
    • À Montmirail, 15h devant chez Axon Cable (2 route de Châlons).
    • À Sainte-Menehould, 16h devant la Mairie.
  • Ardennes :
    • À Charleville-Mézières, 13h30 Parc des Expositions.
  • Aube :
    • À Troyes, 10h place Jean-Jaurès.
    • À Romilly-sur-Seine, 14h Bourse du Travail (58 rue de la Boule-d’Or).
    • À Bar-sur-Aube, 15h30 place du Jard.

Mercredi 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes

  • À Metz, 14h parvis des Droits Humains (devant le centre Pompidou).
  • À Nancy, 14h place Carnot.
  • À Épinal, 10h devant la préfecture (place Foch).
  • À Chaumont, 17h30 rassemblement place de la Mairie, puis projection du film Ouistreham suivie d’un échange à 18h30 au cinéma À l’Affiche.
  • À Troyes, 14h place Jean-Jaurès.

Campagne télétravail 2023: la DG change de cap !

Après avoir incité fortement les agents au télétravail pour les contraindre à adhérer à
la politique globale de la direction d’éloignement des usagers de nos sites depuis le 1er
accord QVT de 2017, La Direction Générale change de cap lors de cette campagne de télétravail et veut réduire les droits octroyés pour cette campagne 2023.
Déjà, la feuille de route 2023 de la DG avait de quoi interpeller :
« Il est important désormais de se saisir de l’opportunité des campagnes télétravail
pour passer d’une approche administrative du télétravail à une organisation hybride
co-construite avec les collectifs, au service des usagers et clients internes comme du
bien-être et de l’engagement des salariés ».
La Direction Générale change « les règles du jeu » de l’accord télétravail afin
de préparer Pôle Emploi aux transformations de l’accueil portées par France Travail,
sous le regard étonné des signataires (CFDT – CFE CGC – FO- SNAP – SNU) de
l’accord…

Pour lire le tract dans son intégralité, cliquer ici

Insécurité à Pôle emploi: le gouvernement et la DG doivent assumer leurs responsabilités !

A Pôle emploi, depuis plusieurs mois, les agents en situation d’accueil sont confrontés à une recrudescence des tensions, pouvant parfois aller jusqu’à des agressions verbales ou physiques.
Résultat, de nombreux agents se rendent sur leur lieu de travail « la boule au ventre », craignant pour leur santé mentale ou physique.
Pour la direction générale, il s’agirait là des conséquences d’une société de plus en plus en violente.

La direction doit accepter de débattre sur la violence institutionnelle infligée aux privés d’emploi dont sont comptables les politiques gouvernementales et par conséquence, l’organisation du travail mise en oeuvre dans les agences et services.

Pôle emploi, en tant qu’employeur, doit garantir la santé et la sécurité de ses agents.

Pour la CGT Pôle emploi, la liste des mesures à l’origine de l’augmentation des tensions avec les usagers est longue…

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Belle avancée obtenue par la CGT sur la retenue du « trentième indivisible » pour les agents publics en grève !

La règle du trentième indivisible en cas de grève censurée par le Comité européen des droits sociaux.
La Confédération, aux côtés de l’UFSE-CGT et la Fédération CGT Finances publiques, avait déposé une réclamation devant le Comité européen des droits sociaux (CEDS) pour dénoncer la règle du trentième indivisible qui veut qu’un agent public de l’État en grève, même une heure, se voit retirer un trentième de sa rémunération, soit une journée entière.
Après de longues années d’attente, le CEDS donne largement raison à la CGT, considérant que la règle du trentième indivisible constitue une violation du droit de grève.
De plus, cette règle est jugée discriminatoire en ce qu’elle n’est prévue que pour les agents publics de l’État et non pour les deux autres versants de la fonction publique (hospitalier et territorial).
Il s’agit incontestablement d’une belle victoire de la CGT dans cette période de mobilisation sociale démontrant, une fois encore, que le droit français n’est pas conforme aux normes internationales et européennes.
En effet, la Cour de cassation vient récemment d’être épinglée par le CEDS pour n’avoir pas respecté sa décision relative à l’injuste barème Macron ; on peut donc espérer que la Conseil d’État saura, quant à lui, modifier sa jurisprudence pour enfin respecter le droit de grève.
Pour la CGT, il y urgence à ce que l’employeur public et les juridictions internes appliquent les recommandations
du CEDS, comité participant à l’effectivité et la protection des droits sociaux des travailleurs.es.
Comme ce fut le cas en 1982, il y a urgence à ce que le législateur abroge enfin cette règle scandaleuse et gravement attentatoire au droit de grève, pourtant droit constitutionnel.
Alors que nous sommes en pleine mobilisation pour la défense de nos retraites, la CGT saura se saisir de cette décision pour contraindre l’employeur public à respecter le droit de grève des agents.es publics.

Pour accéder au communiqué CGT, cliquer ici