Pour une augmentation générale des salaires et des traitements ! Signons la Pétition unitaire Intersyndicale !

Suite à la demande unitaire et intersyndicale, la Direction Générale a consenti à organiser une réunion de Négociation Annuelle Obligatoire (NAO) le Mardi 11 avril 2023.
A cette occasion, le discours de la Direction Générale a été très clair : cette réunion NAO se tient à la demande des organisations syndicales et nous annonce qu’ « elle ne dispose d’aucun budget défini, ni de provision à ce sujet ». Elle garantit juste que la direction portera les demandes auprès du ministère, en prévision de la prochaine
réunion NAO planifiée le 30 mai 2023 prochain.

Alors que l’inflation ne cesse de croître : +5,2% en moyenne en 2022 auquel il est nécessaire de rajouter les +2,5% depuis le mois de janvier 2023 soit +7,5% ! Dans le détail selon l’INSEE, cette augmentation est particulièrement significative depuis un an pour le gaz : +33%, l’alimentation : +16%, l’électricité et transport : +11% etc. Le
gouvernement lui-même ose nous dire que cela va durer !
Sans compter les pertes de pouvoir d’achat subies ces dernières années, les réponses tant du Gouvernement que de la Direction Générale sont inacceptables !

Pour accéder à l’expression unitaire intersyndicale de Pôle emploi invitant les agents à signer une pétition pour permettre de peser lors des prochaines négociations, cliquer ici

(La signature se fait en cliquant sur « signez la pétition » ce qui permet d’envoyer un mel à une adresse commune (la sécurité informatique de Pôle emploi ne permet plus d’utiliser les sites pétitionnaires en ligne). Le périmètre de l’appel a été réduit aux seules OS représentatives et négociatrices (ce qui n’était pas le choix de la CGT) ;

Pour accéder à l’expression de la CGT Pôle emploi sur ces NAO, cliquer ici

Pour accéder au courrier de la CGT Pôle emploi adressé au Ministre du Travail, du Plein Emploi et de l’Insertion (copie au DG) au sujet des salaires et traitements, cliquer ici

Le médiateur de Pôle emploi alerte sur la situation des démissionnaires

Les salariés qui démissionnent peuvent, dans certains cas, toucher le chômage. Mais selon les situations, plusieurs conditions sont à respecter pour en bénéficier. Dans son dernier rapport annuel, le médiateur national de Pôle emploi tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur ce droit difficile à exercer.

Les années passent et le constat reste le même. Toucher le chômage après une démission relève du parcours du combattant pour de nombreux salariés. Car pour rappel, dans certaines situations dites “légitimes”, démissionner permet d’être indemnisé par Pôle emploi. C’est notamment le cas des salariés qui démissionnent pour suivre leur conjoint contraint de changer de lieu de résidence pour un nouvel emploi. Ou encore de ceux qui rompent un premier contrat après trois ans d’affiliation à l’assurance chômage sans interruption pour rejoindre un autre établissement en CDI mais auquel le nouvel employeur met fin dans les 65 premiers jours travaillés. Or d’après le rapport 2022 du médiateur national de Pôle emploi, Jean-Louis Walter, publié fin mars, “les démissions sont toujours un sujet de frustration lorsqu’elles se prennent dans les filets de l’assurance chômage”.

D’un côté, il y a des situations “aussi anciennes que la réglementation elle-même” et “c’est en vain qu’on recherche des signes d’évolution patents”, relève le médiateur. D’après lui, toutes les situations sont sources de “difficultés” pour les salariés, que ce soit une démission “ordinaire”, une fin de période d’essai à l’initiative du salarié ou encore une fin de période d’essai ou de CDI à l’initiative de l’employeur lorsque le salarié a démissionné pour occuper ce nouveau poste.

Le médiateur national de Pôle emploi prend ainsi l’exemple d’un salarié du secteur de l’imprimerie ayant démissionné pour un CDI dans une nouvelle entreprise, proposé sans période d’essai en raison de ses dix années d’expérience dans le domaine. Son nouvel employeur a toutefois décidé de rompre le contrat au bout d’un mois (soit avant les 65 premiers jours du contrat). Vu que le salarié en question n’avait pas trois années consécutives d’activité – il a connu une interruption de trois jours entre deux employeurs en décembre 2019, alors que seule une interruption d’un week-end est autorisée -, il n’a pas pu bénéficier du chômage.

Des règles qui ne reflètent plus la réalité du marché

“La réglementation de l’assurance chômage prévoit bien une liste de cas pour lesquels la démission est légitime (et permet donc d’être indemnisé par Pôle emploi, ndlr), mais force est de constater que les textes n’ont pas évolué et ne reflètent plus la réalité du marché du travail”, signale Jean-Louis Walter, qui appelle, comme il l’avait déjà fait dans son rapport de 2016, à “réhabiliter le pragmatisme sur le sujet des démissions”, ces dernières relevant de règles complexes et donc difficilement applicables et compréhensibles pour les allocataires.

Voilà pour les cas (malheureusement) traditionnels de salariés ne parvenant pas à bénéficier du chômage après une démission. Mais un autre type de rupture du contrat de travail à l’initiative du salarié, qui ouvre droit à l’indemnité de Pôle emploi depuis quelques années seulement, est également source de crispations. Depuis novembre 2019, comme Emmanuel Macron l’avait promis lors de la campagne présidentielle précédant son premier quinquennat, il est possible d’ouvrir un nouveau droit au chômage en cas de démission pour une reconversion

Sous certaines (strictes) conditions, toutefois. Il faut ainsi avoir travaillé de manière continue – sans période de chômage – pendant les cinq années précédant la démission, soit 1.300 jours de travail au cours des 60 mois précédant la fin du contrat. Par ailleurs, un projet de reconversion professionnelle, devant présenter un caractère “réel et sérieux”, est obligatoire. Ce projet doit ensuite être validé par un opérateur de conseil professionnel, ainsi qu’une commission paritaire interprofessionnelle régionale (CPIR). Pôle emploi s’occupe enfin de vérifier que toutes les démarches ont bien été réalisées par le démissionnaire pour percevoir les indemnités chômage.

Mais d’après les dernières données communiquées par Pôle emploi et l’Unédic en août 2022, seules 25.000 personnes ont ouvert un nouveau droit au chômage dans le cadre d’une démission-reconversion depuis la création du dispositif, soit au bout de deux ans et demi environ. S’il y a du mieux comparé à la situation de novembre 2021, ce nombre reste bien inférieur à l’objectif visé par le gouvernement à l’origine, à savoir 17.000 à 30.000 bénéficiaires chaque année. Il faut dire que l’information sur ce dispositif est “mal comprise par les candidats”, “incomplète”, voire même “absente”, regrette le médiateur national de Pôle emploi.

Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’il remet en cause la mesure : il parlait déjà d’un “rendez-vous manqué” dans son rapport 2019, avant de revenir à la charge dans son édition 2020 en décrivant la mise en œuvre pratique de la mesure comme étant “éloignée de la simplicité de la promesse initiale car elle s’assortit de conditions préalables assez complexes”.

Une information trop tardive sur le chômage pour démission-reconversion

Dans son rapport 2022, le médiateur national de Pôle emploi estime notamment que sur les cinq années d’activité exigées pour bénéficier du chômage en cas de démission-reconversion, l’information est “inaccessible” en amont. “De fait, les médiateurs (régionaux, ndlr) continuent de recevoir des demandes de médiation après un refus d’une ouverture de droits à l’assurance chômage en raison d’un manque de jours travaillés, notifié par Pôle emploi après le calcul des droits, c’est-à-dire en toute fin de parcours, après que le salarié a démissionné”, expose Jean-Louis Walter. Et d’ajouter : “Cela paraît invraisemblable mais répond à une logique technique et administrative. Pour que Pôle emploi examine le droit à indemnisation, il doit se fonder sur les attestations employeur. Or ces documents ne sont remis par l’employeur qu’à la fin de la relation de travail. Dans la construction actuelle, le candidat n’est donc pas en capacité d’obtenir de Pôle emploi l’assurance de son éligibilité avant d’avoir démissionné.”

Et la situation est encore plus problématique pour les salariés de droit privé travaillant pour un employeur public, ceux-ci n’étant pas éligibles au dispositif mais n’en étant informés, encore une fois, que trop tard. Plus précisément, “un employeur public peut indemniser au chômage lui-même ses ex-salariés sous contrats privés en auto-assurance, ou bien déléguer cette indemnisation à Pôle emploi via une convention de gestion. Quel que soit le mode d’indemnisation, ces salariés sont exclus du dispositif (chômage pour démission-reconversion, ndlr) dès lors qu’ils ont travaillé dans le secteur public dans la période qui a précédé la fin du dernier emploi”, rappelle le médiateur national de Pôle emploi.

Et la situation est encore plus problématique pour les salariés de droit privé travaillant pour un employeur public, ceux-ci n’étant pas éligibles au dispositif mais n’en étant informés, encore une fois, que trop tard. Plus précisément, “un employeur public peut indemniser au chômage lui-même ses ex-salariés sous contrats privés en auto-assurance, ou bien déléguer cette indemnisation à Pôle emploi via une convention de gestion. Quel que soit le mode d’indemnisation, ces salariés sont exclus du dispositif (chômage pour démission-reconversion, ndlr) dès lors qu’ils ont travaillé dans le secteur public dans la période qui a précédé la fin du dernier emploi”, rappelle le médiateur national de Pôle emploi.

Le caractère “alambiqué” du dispositif le rend donc “vulnérable aux difficultés d’appropriation”, pointe Jean-Louis Walter. Et de conclure : “À regret, on doit donc constater qu’à travers le traitement des démissions […], on continue de mettre des freins à l’ambition et à la mobilité professionnelle des salariés.”

Source: Capital

Abandon de poste : le Conseil d’Etat saisi sur la nouvelle procédure

Le salarié qui a abandonné volontairement son poste est désormais présumé démissionnaire. Ce qui a pour effet de le priver du droit à l’allocation chômage. Mais un couac dans la communication du gouvernement complique l’affaire. Le Conseil d’État a été saisi.

L’affaire semblait claire : désormais, en cas d’abandon de poste, si un salarié ne se présentait plus à son travail, son employeur le considérait comme démissionnaire et il n’avait pas droit à ses allocations chômage. Sauf que l’affaire n’est pas si simple, au point qu’elle vient d’atterrir devant le Conseil d’État. Le fruit d’un couac dans la communication du gouvernement. Un décret d’un côté, et un question-réponse de l’autre, deux productions du ministère du Travail, donc, qui se contredisent et font le miel des juristes. La Revue fiduciaire a eu confirmation que le Cercle Lafay, un centre de réflexion, avait saisi le Conseil d’État pour abus de pouvoir.

Un décalage entre le décret et un question-réponse du ministère

Au départ, tout paraissait clair. Depuis le 18 avril, date de parution d’un décret, un salarié qui ne se présente plus à son poste de travail est considéré comme démissionnaire. À ce titre, il ne va pas toucher les allocations chômage. Le décret précise que l’employeur doit mettre en demeure son employé et que si celui-ci ne se représente pas dans un délai de 15 jours, il est présumé démissionnaire. Mais le décret laisse le choix au patron. Soit il met fin au contrat de travail pour démission, soit il le licencie pour faute, ce qui va avoir évidemment avoir d’autres conséquences pour le chômage : cette fois, il aura droit à des indemnités.

Et c’est là qu’un autre texte, issu du ministère du Travail, dit le contraire. Dans un question-réponse, cette fois, le ministère dit que « si l’employeur désire mettre fin à la relation de travail avec le salarié qui a abandonné son poste, il doit mettre en œuvre la procédure de mise en demeure et de présomption de démission. Il n’a plus vocation à engager une procédure de licenciement pour faute ». Plus d’autre possibilités, donc, pour l’employeur, que de suivre la nouvelle procédure. C’est ce qui est attaqué devant le Conseil d’État. Le recours en excès de pouvoir reproche au question-réponse du gouvernement de ne pas laisser le choix à l’employeur de se placer sur le champ disciplinaire – le licenciement pour faute. Or, cela a évidemment de lourdes conséquences sur l’indemnisation du salarié.

(Source: France Info)

Présomption de démission pour « abandon de poste » : une nouvelle attaque du gouvernement contre l’assurance chômage et le droit de choisir son emploi.

Le décret concernant la présomption de démission est paru au Journal officiel le 18 avril 2023 dans la nuit suivant l’allocution télévisée hors sol du Président prétendant relancer le « dialogue social ».  Pris contre l’avis de toutes les organisations syndicales et d’une partie du patronat, il est entré en vigueur le 19 avril 2023.

Ce décret institue une présomption de démission en cas d’abandon de poste, qui permet donc de priver d’indemnités chômage, pendant au moins 4 mois, toutes les personnes ayant été licenciées à la suite d’un abandon de poste, au motif qu’il s’agirait de « chômage volontaire ».

Si l’on s’appuie sur les études statistiques de l’Unedic et de la DARES, il est clair que les salariés abandonnant leur poste ne sont très majoritairement pas des « fainéants » ; ils cherchent à fuir des conditions de travails dégradées ou des salaires trop bas pour retrouver un travail plus décent.

Le gouvernement ne prend décidément pas la mesure de la souffrance au travail des salariés et préfère les contraindre à rester en poste plutôt que de faire pression sur le patronat, directement responsable des conditions de travail dégradées et notamment, de fait, des abandons de poste.

Après la énième réforme de l’assurance chômage qui réduit la durée maximale des droits de 25% depuis le 1er février, le gouvernement souhaite maintenant maintenir de force les salariés les plus précaires dans des emplois dégradés et en même temps générer de nouvelles économies, de 500 à 800 millions d’euros par an sur les allocations chômage.

Cette mesure va impliquer une multiplication des contentieux devant les juridictions prudhommales, déjà largement surchargées, puisqu’il s’agit du seul moyen de bloquer la requalification du licenciement en démission. Cependant, même en référé les délais sont longs et le résultat incertain face à une privation immédiate de salaire et d’allocation chômage.

La CGT réaffirme son opposition à cette mesure, comme à toutes celles prises de force par le gouvernement en matière de chômage depuis 2019. La CGT appelle donc à amplifier les mobilisations contre la politique de casse généralisée de la protection sociale mise en œuvre par ce gouvernement et pour une véritable sécurité sociale professionnelle.

Pour accéder à l’intégralité du tract, cliquer ici

France Travail: où en est-on ? (en attendant le rapport du coordonnateur de la mission de préfiguration…)

Un démarrage dans la confusion…
Après la réforme (ou plutôt « casse ») du code du travail dans son 1e quinquennat, Macron veut pour son 2e quinquennat réformer le travail avec un train de loi appelé « Objectif plein emploi » concernant 5 sujets: l’assurance chômage, les retraites, le RSA, les lycées professionnels, le service public de l’emploi (France Travail).

En attendant le rapport du coordonnateur de la mission de préfiguration de France Travail, retardé à plusieurs reprises, voici un point d’étapes sur: l’objectif général du plan « Objectif plein emploi », l’objectif de France Travail, la méthode contestable utilisée, les interrogations/risques/conséquences du projet France Travail…

Pour lire le 3 pages consacré à France Travail, cliquer ici.

La CGT Pôle emploi Grand-Est organise le 2 mai après-midi (à partir de 14h00) une Réunion d’information (motif HMI) Teams consacrée à France Travail.

Pour rappel, le dispositif HMI permet aux collaborateurs de participer à une réunion d’information syndicale durant leur temps de travail, sans perte de salaire ni retenue sur leur temps de travail, les heures étant cumulable sur un trimestre (valorisée à 3h45). Les collaborateurs ayant déjà utilisé leur HMI durant le premier trimestre ne pourront malheureusement pas y participer.
Nous vous encourageons à profiter de cette occasion pour vous informer et échanger sur le sujet de France Travail.
Si vous souhaitez participer à cette réunion, vous devez prévenir votre hiérarchie et poser l’après-midi sous le motif « HMI » dans Horoquartz (via « Mandat sociaux et cession d’heures »)
Nous espérons que cette réunion sera une opportunité pour tous de mieux comprendre les enjeux et les perspectives des futurs projets qui affecteront notre travail et notre façon de travailler, dans les prochaines semaines, mois et années.

Toutes les informations ainsi que le lien de connexion vous parviendrons très prochainement: surveillez votre messagerie !

 

Retraites: ce n’est pas fini ! Faisons du 1e mai un raz-de marée de mobilisation !

Les organisations syndicales ont pris note que pendant 3 mois le Président de la République n’a pas jugé que l’état du pays nécessitait une rencontre pour trouver les voies de sortie de crise. Elles n’entreront donc pas dans un agenda politique qui nécessiterait un rendez-vous en urgence et dont l’ordre du jour ne serait pas le retrait de la réforme. Attachées à un dialogue social de qualité, elles décident d’ici le 1er mai de ne pas accepter de réunions avec l’exécutif.
L’intersyndicale soutient les actions et grèves engagées et les initiatives intersyndicales de proximité qui seront décidées localement. L’intersyndicale appelle l’ensemble des travailleuses et travailleurs, des jeunes et retraité-es à faire du 1er mai 2023 une journée de mobilisation exceptionnelle et populaire contre la réforme des retraites et pour la justice sociale. Une telle mobilisation unitaire intersyndicale sur le travail et les retraites est historique dans notre pays, elle démontre l’importance d’avoir des réponses à la hauteur des enjeux sociaux et environnementaux.

Pour lire le communiqué intersyndical, cliquer ici

Pour lire la déclaration de la CGT Pôle emploi au CSEC du 20 avril 2023, cliquer ici

Pour lire le tract de la CGT Pôle emploi, cliquer ici

Les rendez-vous connus dans le Grand-Est pour les manifestations :

  • Moselle :
    • À Metz, 10h30 devant l’Arsenal.
  • Meurthe-et-Moselle :
    • À Nancy, 10h30 place de la République.
  • Vosges :
    • À Épinal, 11h Bourse du Travail (rue Aristide Briand).
  • Meuse :
    • À Bar-le-Duc, 10h parking du Lidl (rue Bradfer).
    • À Commercy, 10h place du Fer-à-Cheval.
  • Bas-Rhin :
    • À Strasbourg, 10h avenue de la Liberté.
    • À Sélestat, 10h place Vanolles.
  • Haut-Rhin :
    • À Mulhouse, 9h30 place de la Bourse.
    • À Colmar, 10h rue de Turenne.
  • Haute-Marne :
    • À Chaumont, 10h place de la mairie.
    • À Saint-Dizier, 10h place de la mairie.
    • À Langres, 9h30 place Bel-Air.
  • Marne :
    • À Châlons-en-Champagne, 10h Maison des Syndicats (1 place de Verdun).
    • À Reims, 10h Maison des Syndicats (15 boulevard de la Paix).
    • À Épernay, 10h30 place Carnot (devant l’ancienne Bourse du Travail).
    • À Vitry-le-François, 11h place d’Armes.
  • Ardennes :
    • À Charleville-Mézières, 9h30 place Ducale.
  • Aube :
    • À Troyes, 10h place Jean-Jaurès.
    • À Romilly-sur-Seine, 10h Bourse du Travail (58 rue de la Boule-d’Or).
    • À Brienne-le-Château, 10h30 place de la mairie.
    • À Bar-sur-Aube, 11h place de l’Hôtel de Ville.